Te rappelles-tu de moi? Ft Atlas

Te rappelles-tu de moi?

J'ouvris mon œil, l'œil droit plus précisément, le ciel était gris, c'était plutôt, voir très rare ici. J'ouvris mon autre œil et le va la tête au ciel, j'étais un peu à l'écart du groupe, bien entendu je l'avais fais exprès, je voulais être tranquille hier soir. Je leva mon sabot avant de le reposer au sol. Un nuage de fumé s'éleva, je m'amusais plutôt bien, je regarda ensuite derrière moi, je vis la troupe qui s'éveillait. Notre mâle dominant regardé les visages de sa troupe s'éveillaient, à ces côtés, le male le plus fort du clan lui parlait, c'était le chef des guerriers. Je m'approcha des deux mâles, je me tourna vers le meneur de notre clan et je lui demanda si je pouvais faire un tour. J'entendais par là, un petit tour d'horizon, enfin plutôt un espionnage, à cet époque de l'année nous étions bien près des autres territoires, ce qui me rassurais un peu en faite, au moins je pouvais garder un coup d'œil sur la frontière. Le mâle accepta ma requête, je comptais partir seule, mais comme il ne fallait pas chaumer, je m'approcha d'un mâle svelte qui était espion, j'avais confiance en lui, alors je lui demanda de bien vouloir nous trouver une oasis. Nous connaissions nos terres, seulement j'aurais aimé qu'on trouve un coin pour manger plus près. Je lui dis que si il ne trouvait pas autre que celle que l'on connaissait, il devait observer nos frontière avec les Campagnards. J'avais confiance en eux, mais il fallait être prudent. Je m'éloigna au trot, quand je fus hors de porter de vois, je me mis à galoper, ma crinière flottait avec la vitesse;, je sentais la poussière se soulevait sur mon passage. J'arriva vers les midi à la frontière que l'on avait avec les Nordiques. Je m'approcha lentement, calmant ma respiration, se cachait serait complexe, mais si je restais près de la frontière... Pour ça, nous avions de la chance, sur nos terres, personne ne pouvait se cacher, chez les autres, c'était bien plus facile. Une fois à la frontière, je veux dire, a à peine quelques centimètres, je vis un male noir descendre, son pelage charbonneux me rappelais quelque chose. L'animal s'approcha, je me rendis compte que c'était Atlas, un mâle avec qui j'avais eu une relation amoureuse. Je l'interpella, je ne savais pas s'il me reconnaissait mais il s'approcha tout de même.